Le cas Airbnb : de nouvelles restrictions ?

En 2017, les loueurs (17 jours en moyenne par an), gagneraient en moyenne la somme de 1678 euros par an.

 

 

Vous connaissez sûrement Airbnb. Vous êtes d’ailleurs peut-être déjà partis en week-end ou en vacances avec lui, profitant ainsi de ses prix très avantageux.

Mais peut-être que ce nom, Airbnb, ne vous dit rien ?  Revenons sur ce concept.

 

Fondée en 2008, Airbnb est une plateforme américaine payante de location entre particuliers.

Grâce à elle vous pouvez louer tout ou partie de votre bien pour une durée déterminée, ou alors, décider de louer vous-même un appartement, une maison, un château etc…

Quels avantages offrent cette plateforme ? En premier lieu, si vous interrogez ses utilisateurs, ils vous répondront bien évidemment les prix, qui sont très avantageux, comparés à ceux pratiqués dans les hôtels classiques par exemple.

 

Et c’est là le hic. Le système remportant un franc succès, la réglementation autour de la plateforme a dû se renforcer pour éviter tout abus éventuel. Car en effet, c’est un business qui peut s’avérer très lucratif pour un propriétaire qui louerait sans arrêt son logement en passant par la plateforme.

Rappelons que la loi stipule que pour qu’une résidence soit considérée comme résidence principale, celle-ci doit être occupée au minimum 8 mois dans l’année. Airbnb va donc, dès janvier 2018 devoir limiter le nombre de nuitées en location à 120 pour ne pas dépasser le quota légal.

 

Au delà de ce nombre de nuitées les loueurs sortent du cadre de l’économie collaborative basée sur le concept de partage d’un coût. Ils s’exposent donc à un risque fiscal non négligeable.

 

A noter :

Cette limite ne s’appliquera qu’aux arrondissements parisiens, du moins pour le moment, car c’est ici que le nombre d’abus le plus important à été enregistré.

 

Autre grand changement pour la plateforme de location :  les grandes villes (plus de 200.000 habitants) peuvent dès à présent imposer aux loueurs particuliers de se rendre en mairie afin de déclarer cette activité.

Dans quel but ? Contrôler. Et oui, grâce à ce système, les mairies pourront s’assurer que la limite des 120 nuitées ne soit pas dépassée. Si c’est le cas, des amendes seront attribuées.

 

Rappelons que si Airbnb est très apprécié par les locataires et les “voyageurs” de courte ou longue durée, qui bénéficient de prix très intéressants, les professionnels (hôtels, chambres d’hôtes…) crient à la concurrence déloyale.  

Pourtant, la plateforme de location qui a su s’imposer en un temps record semble bel et bien être l’avenir d’une certaine forme de location. Celle de courte durée.  

Affaire à suivre donc.

 

 

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